La guerre de tous les Français
sur 17/12/2025 à 9:35
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6 juin 1944 : le Canada, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis prennent d'assaut la côte normande pour arracher l'Europe au contrôle nazi. Les soldats l'appellent le Jour le plus long. Ce document raconte l'histoire de la bataille historique à travers les souvenirs de ceux qui ont mené cette guerre. La série donne une vue à 360 degrés de l'invasion, d'un marin britannique qui a déposé des charges sous-marines qui ont fait sauter les défenses allemandes, aux Canadiens, aux Américains, aux résistants français et aux défenseurs allemands. Les interviews sont combinées à des séquences récemment découvertes et à des reconstitutions dramatiques en 3D.
Raconté par Céline Sallette, le documentaire s'éloigne des récits du front pour faire revivre la vie quotidienne des Français "de l'arrière" pendant la Grande Guerre. Car la victoire de novembre 1918, c'est aussi celle de tout un pays qui a su mobiliser jusqu'au bout ses ressources, ses bras et sa volonté. La France en guerre, c'est la foule innombrable des sans-grades, des obscurs et des anonymes. Dans cette première guerre totale, il faut tenir chacun à son poste : les enfants dans les écoles, les ouvrières dans les usines, les boulangers dans leurs ateliers, les paysannes et les ouvriers agricoles dans les champs, les députés dans les commissions parlementaires et les maires dans leur commune.
Alors que la guerre contre le Japon approchait, tout le monde pensait que ce combat du Pacifique serait dominé par la Marine. L'amiral H. Kimmel, en charge de la flotte américaine en aurait donc le rôle principal. Après l'attaque de Pearl Harbor, il perdit toute reconnaissance.
Le récit des dernières heures de John F. Kennedy, de son arrivée à Dallas jusqu'à son assassinat et l'évacuation de son corps à bord d'Air Force One.
Les soldats sont au bord du gouffre et veulent rentrer dans leurs foyers, où leurs proches souffrent également, tiraillés par la faim et les maladies. A l'arrière, la colère gronde. Les révoltes commencent. L'agitation sociale se fait sentir en Allemagne, tandis que l'Empire austro-hongrois vacille.
Septembre 1915. Des millions d'hommes sont pris dans le piège d'une guerre immense. Des tranchées de France aux montagnes italiennes ou des Balkans, jusqu'aux portes de l'Orient, l'Europe entière s'est enflammée. Nouvelles armes, nouvelles défenses, la guerre est désormais industrielle et chimique. Les combats atteignent une violence jusque-là inconnue. L'artillerie pilonne. Les attaques se font au gaz, aux lance-flammes, aux Schrapnels, mélange de poudre et de billes de plomb qui fracassent les visages et les corps. Les assauts sont terrifiants, suicidaires. Des orages d'acier brisent les tympans et rendent fous les soldats. Les blessures sont affreuses, les conditions de vie et d'hygiène dans les zones de combat sont catastrophiques, les épidémies font des ravages.
Le Colisée de Rome est un miracle architectural qui a nécessité des innovations de pointe dans la technologie de l'ingénierie de l'époque. Enquête.
Entre le 23 et le 31 mars 1945, les hommes du 13e Bataillon de chasseurs alpins ont participé à une offensive destinée à dégager le col du Petit Saint-Bernard de l'ennemi italo-allemand. Pour les jeunes hommes engagés dans cet affrontement, il ne s'agit pas seulement d'une opération de guerre mais bel et bien d'une revanche après la victoire volée aux troupes alpines françaises en juillet 1940.
De mars à juin 1964, Jackie Kennedy reçoit l'historien Arthur Schlesinger chez elle à sept reprises. Au cours de huit heures d'enregistrement, cette mère de famille âgée seulement de 34 ans se dévoile, plusieurs mois après l'assassinat de son mari John Fitzgerald Kennedy, président des Etats-Unis, le 22 novembre 1963 à Dallas. Alors que ces enregistrements ne devaient être divulgués que cinquante ans après sa mort, survenue le 19 mai 1994, sa fille Caroline les a rendus publics en 2011. A l'aide de ces archives, le réalisateur Patrick Jeudy pose un autre regard sur cette femme, cinquante ans après la mort de JFK. Celle-ci était toujours soucieuse d'entretenir le mythe Kennedy en n'évoquant ni les tromperies ni la maladie de son mari.
Alors que les Alliés ont tenté, à l'été 1942, un raid sur Dieppe, Adolf Hitler décide de faire construire en secret un immense centre de commandement en France. Le but ? Disposer d'une base permettant de coordonner la défense de l'Europe en cas de débarquement allié. 22000 ouvriers réduits en esclavage vont construire 475 bunkers en béton armé sur une zone militarisée de 90 kilomètres carrés.